Supers et célibataires : petite leçon n°2 ou si on faisait une petite place à l'homme dans nos vies ?


Bah oui, on continue à explorer pour chercher où ça bug, parce que les femmes de ma vie qui cherchent encore l'amour, on ne les oublie pas en ces temps de cupidon survolté...


Et si....
Et s'il était aussi là un peu le problème ?
Dans nos vies de nanas si remplies, où les années passant, on a tout géré seules, tout contrôlé.
On a appris à parler fort, à occuper l'espace quoi.
Mais un beau jour, tic tac tic tac, on se dit que pourquoi pas, un homme dans nos vies.
On en croise, on en fréquente, on débute quelques relations sérieuses même, mais la sauce ne prend pas.

Il faut dire que ce n'est pas si simple pour ces messieurs et que certaines femmes peuvent......leurs faire peur.

Bah oui, nous les supers nanas en tout genre, on peut faire flipper les bonhommes.
Pas si simple d'être un homme au 21ème siècle.
Rester viril en assumant sa part de sensibilité.

Cependant les poulettes, pour rester viril, il faut qu'un homme ait un minimum de place pour le faire.
Un peu d'espace pour exister.
Car si comme le disait Axelle Red (attention ça envoie du lourd) « laisse moi rester femme, jusqu'aux larmes » (faites pas comme si vous connaissiez pas les paroles), ils ont bien envie de nous répondre « laisse moi rester homme, jusqu'aux hormones ».

Alors attention, tatatata, j'ai pas dit qu'il fallait retourner dans sa cuisine faire des confitures en lui servant sa bière au salon. C'est pas exactement ça que j'entends par « laisser de la place aux hommes et à leur virilité ».

C'est plutôt accepter d'en dire un peu moins, un peu moins fort. De laisser un espace à l'autre pour décider, gérer, rabrouer.
Accepter de le laisser nous contredire (quuuoooooooiiiii????), d'être peu être un (tout petit) peu moins exigeante......et moins cassante.

Parce que renvoyer l'autre dans ses filets, c'est une méthode de défense qu'on a mis des lustres à mettre en place, mais qui finalement n'a pas tant que ça fait ses preuves.
Bah oui, il s'avère, après une étude minutieuse de nos services que l'agressivité ça a plutôt tendance à éloigner les gens (dingue je vous dit, dingue!!).

Donc on est là, on rigole on rigole, on le pousse, on commande avant lui au resto, on choisit d'ailleurs le resto, la table, et on l'engueule quand il veut payer l'addition, puis on ne comprend pas pourquoi à la douzième vannes de la soirée, il nous raccompagne devant chez nous et nous claque une bonne bise suivi d'un évasif « on s'rappelle ». Aurait-on merdé ?
Oui.

L'autre n'est pas nous. Et ne sera jamais comme nous. Et d'ailleurs c'est tant mieux.
Alors pourquoi ne pas accepter que quand il est là, c'est forcément différent de nos habitudes, que sa manière de ranger, d'organiser (si, si, les hommes organisent, c'est juste que c'est une méthode d'une autre dimension) sont différentes aussi.

Et qu'il a des défauts.
Il n'est pas complétement celui qu'on a fantasmé pendant nos années de solitude.
Celui qu'on croit devoir afficher en public, aux amis, à la famille etc...
Interrogeons-nous sur ce qui est vraiment important pour nous (ses valeurs ? Son portefeuille ?) et voyez que finalement le tee-shirt dans le pantalon c'est peut- être la loose, mais un mec ça se rhabille.
Évidemment, s'il est beau, intelligent et riche, ça ne gâche rien, mais même ceux-là ont des défauts.
Vous n'en avez pas vous ?.....

Commentaires

  1. Dis donc! C'est bien d'avoir conscience de tout ça sans attendre x années de vie à deux!
    Ça fait gagner du temps et quelques prises de tête sans doute.
    Ce qui est encore mieux, c'est de le garder en tête au fil du temps...

    RépondreSupprimer
  2. J'y travaille ! chaque jour un peu plus :-)

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés